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ARTINIBSA BOITE
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ARTINIBSA BOITE (50X1,8ML)
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Produit pharmaceutique-AMM :
Artinibsa 40 mg/ml Adrénaline 1/100 000, solution injectable à usage dentaire.
Artinibsa 40 mg/ml Adrénaline 1/200 000, solution injectable à usage dentaire.
Composition :
Pour 1 ml de solution.
Artinibsa 1/100 000 : Chlorhydrate d’articaïne 40 mg, Adrénaline 0, 01 mg, (sous forme de tartrate d’adrénaline 0, 018 mg).
Artinibsa 1/200 000 : Chlorhydrate d’articaïne 40 mg, Adrénaline 0,005 mg, (sous forme de tartrate d’adrénaline 0,009 mg).
Indications thérapeutiques :
Anesthésie locale ou loco-régionale en pratique odonto-stomatologique.
Fabricant INIBSA.
Articaïne (Chlorhydrate) / Adrénaline 1/100 000 et 1/200 000.
DENOMINATION DU MEDICAMENT
ARTINIBSA 40 mg/mL ADRENALINE 1/100 000, solution injectable à usage dentaire.
ARTINIBSA 40 mg/mL ADRENALINE 1/200 000, solution injectable à usage dentaire.
COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE:
Artinibsa 1/100 000 : Chlorhydrate d’articaïne 40 mg, Adrénaline 0,01 mg, sous forme detartrate d’adrénaline 0,018 mg pour 1 ml de solution. Une cartouche de1,8 ml contient 72 mg de chlorhydrate d’articaïne et 0,018 mg d’adrénaline (sous forme detartrate d’adrénaline).
Artinibsa 1/200 000 : Chlorhydrate d’articaïne 40 mg, Adrénaline 0,005 mg, sous forme de tartrate d’adrénaline 0,009 mg pour 1 ml de solution. Une cartouche de 1,8 ml contient 72 mg de chlorhydrate d’articaïne et 0,009 mg d’adrénaline (sous forme de tartrate d’adrénaline).
Excipients : Chlorure de sodium, métabisulfite de sodium (E223), acide chlorhydrique, hydroxyde de sodium, eau pour préparations injectables. FORME PHARMACEUTIQUE Solution injectable à usage dentaire. Solution limpide, incolore. DONNÉES CLINIQUES Indications thérapeutiques Anesthésie locale ou loco-régionale en pratique odonto-stomatologique. Posologie et mode d’administration Réservé à l’adulte et à l’enfant à partir de 4 ans, en raison du type d’anesthésie non adapté avant cet âge. Posologie : Adulte : La quantité à injecter sera adaptée en fonction de l’importance de l’intervention. En règle générale, une à trois cartouches par séance. Ne pas dépasser la dose de 7 mg de chlorhydrate d’articaïne par kilogramme de poids corporel. Enfant (de plus de 4 ans) : La quantité à injecter dépend de l’âge, du poids de l’enfant et du type d’intervention à réaliser. La dose maximale est de 5mg de chlorhydrate d’articaïne (0,125 ml de solution anesthésique) par kilogramme de poids corporel. La dose moyenne en mg de chlorhydrate d’articaïne que l’on peut administrer chez l’enfant, peut être calculée comme suit : poids de l’enfant (en kilo) x 1,33. Sujet âgé : Réduction de moitié de la dose réservée à l’adulte.
Mode d’administration : INJECTION LOCALE OU REGIONALE INTRABUCCALE SOUS MUQUEUSE. Vérifier qu’il n’y a pas d’effraction vasculaire par des tests d’aspiration répétés, en particulier lors d’anesthésie régionale (tronculaire). La vitesse d’injection ne doit pas dépasser 1 ml de solution par minute. Contre-indications Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants : hypersensibilité aux anesthésiques locaux ou à l’un des composants ; troubles de la conduction auriculo-ventriculaire sévères et non appareillés ; épilepsie non contrôlée par un traitement ; porphyrie aiguë intermittente ; méthémoglobinémie congénitale ou idiopathique. Mises en garde spéciales et précautions d’emploi Mises en garde : CE PRODUIT CONTIENT DE L’ADRENALINE AU 1/100 000 OU AU 1/200 000. Tenir compte d’un risque de nécrose locale chez les sujets hypertendus ou diabétiques. Risque d’anesthésiophagie : morsures diverses (lèvres, joues, muqueuses, langue) ; prévenir le patient d’éviter la mastication de gomme à mâcher ou d’aliment aussi longtemps que persiste l’insensibilité. L’utilisation de ce produit n’est pas recommandée chez l’enfant de moins de 4 ans, en raison de la technique anesthésique non adaptée avant cet âge. Éviter l’injection dans les zones infectées et inflammatoires (diminution de l’efficacité de l’anesthésique local). L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que ce médicament contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. Précautions d’emploi : l’utilisation de ce produit nécessite impérativement au préalable : un interrogatoire destiné à connaître le terrain, les thérapeutiques en cours et les antécédents du patient ; de pratiquer une injection-test de 5 à 10 % de la dose en cas de risque allergique ; d’effectuer l’injection lentement et strictement hors des vaisseaux en contrôlant par des aspirations répétées ; de maintenir le contact verbal avec le patient. La surveillance doit être accrue chez les sujets sous anticoagulants (surveillance de l’INR). En raison de la présence d’adrénaline, précautions et surveillance accrues en cas de : troubles du rythme, excepté les bradycardies, d’infarctus du myocarde récent ou d’angine de poitrine ; insuffisance coronarienne ; hypertension artérielle sévère. En cas d’insuffisance hépatocellulaire grave, il peut être nécessaire de diminuer les doses d’articaïne, en raison du métabolisme, principalement hépatique, des anesthésiques locaux à fonction amide. La posologie doit être également diminuée en cas d’hypoxie, d’hyperkaliémie ou d’acidose métabolique. Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interaction : Sans objet, compte tenu du passage systémique négligeable en injection locale et à cette dose. Grossesse et allaitement Grossesse : Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces. En clinique, il n’existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de l’articaïne lorsqu’elle est administrée au cours de la grossesse. En conséquence, dans les indications en odontostomatologie, l’utilisation de l’articaïne ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Allaitement : Comme les autres anesthésiques locaux, l’articaïne passe dans le lait maternel en très faible quantité, cependant l’allaitement peut être poursuivi au décours du geste anesthésique.
Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Ce produit peut modifier les capacités de réaction pour la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines.
Effets indésirables Comme avec tous les anesthésiques utilisés en odontostomatologie, des lipothymies peuvent survenir. En raison de la présence de métabisulfite de sodium, risque de réactions allergiques, y compris réactions anaphylactiques et bronchospasmes. En cas de surdosage ou chez certains patients prédisposés, les signes cliniques suivants peuvent être observés : Sur le système nerveux central : nervosité, agitation, bâillements, tremblements, appréhension, nystagmus, logorrhée, céphalées, nausées, bourdonnements d’oreille. Ces signes d’appel nécessitent de demander au patient d’hyperventiler, ainsi qu’une surveillance attentive pour prévenir une éventuelle aggravation avec convulsions puis dépression du SNC. Sur le système respiratoire : tachypnée puis bradypnée pouvant conduire à une apnée. Sur le système cardiovasculaire : tachycardie, bradycardie, dépression cardio-vasculaire avec hypotension artérielle pouvant aboutir à un collapsus, troubles du rythme (extrasystoles ventriculaires, fibrillation ventriculaire), trouble de la conduction (bloc auriculo-ventriculaire). Ces manifestations cardiaques peuvent conduire à un arrêt cardiaque. La méthémoglobinémie est un effet secondaire puissant de l’administration d’importantes doses d’articaïne. Cette réaction a été détectée en cas d’administration intraveineuse, en anesthésie régionale. Jusqu’à présent, cet effet ne s’est jamais produit en cas d’administration d’articaïne en pratique dentaire. Surdosage Des réactions toxiques, témoins d’un surdosage en anesthésique local, peuvent apparaître dans deux conditions : soit immédiatement, par surdosage relatif dû à un passage intraveineux accidentel, soit plus tardivement par surdosage vrai dû à l’utilisation d’une trop grande quantité d’anesthésique. Conduite à tenir : Dès l’apparition des signes d’appel, demander au patient d’hyperventiler, mise en position allongée s’il y a lieu. Devant l’apparition de clonies, oxygénation, injection d’une benzodiazépine. Le traitement peut nécessiter une intubation avec ventilation assistée.
PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES Propriétés Pharmacodynamiques Groupe pharmacothérapeutique : anesthésiques locaux/ articaïne, code ATC N01BB58. Le chlorhydrate d’articaïne est un anesthésique local à fonction amide, qui interrompt la propagation de l’influx nerveux le long de la fibre nerveuse au lieu d’injection. L’adrénaline (diluée au 1/100 000 ou au 1/200 000) ajoutée à la solution d’articaïne, permet de ralentir le passage de l’articaïne dans la circulation générale et assure ainsi le maintien prolongé d’une concentration tissulaire active, permettant d’obtenir un champ opératoire peu hémorragique. L’anesthésie s’installe en 2 à 3 minutes. La durée de l’anesthésie permettant l’acte chirurgical est d’environ 60 minutes. Elle est 2 à 3 fois plus courte pour une anesthésie pulpaire. Propriétés pharmacocinétiques Injectée dans la muqueuse buccale, l’articaïne atteint son pic de concentration sanguine environ 30 minutes après l’injection. La demi-vie d’élimination du chlorhydrate d’articaïne est d’environ 110 minutes. Le métabolisme du chlorhydrate d’articaïne est principalement hépatique ; 5 à 10 % sont éliminés sous forme inchangée dans les urines.
Données de sécurité préclinique Les études effectuées sur l’animal ont montré la bonne tolérance de l’articaïne. Comme les autres anesthésiques locaux à fonction amide, le principe actif, à doses élevées, peut induire des réactions toxiques sur le système nerveux central et le système cardiovasculaire (voir rubrique Effets indésirables).
DONNÉES PHARMACEUTIQUES Incompatibilités L’alcalinisation de la solution peut précipiter la base. En l’absence d’étude de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.
Durée de conservation : 18 mois
Précautions particulières de conservation A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C. Conserver les cartouches dans l’emballage extérieur, à l’abri de la lumière.
Nature et contenu de l’emballage extérieur 1,8 ml de solution injectable à usage dentaire en cartouche (verre de type I), pourvue à une extrémité d’un piston de bromobutyle et à l’autre d’une capsule d’aluminium avec un disque double de bromobutyle ; boîte de 50.
TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE : INIBSA DENTAL SLU. CTRA. SABADELL - GRANOLLERS, KM 14,5 ; 08185 LLIÇÀ DE VALL ; BARCELONE ; Espagne
EXPLOITANT DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE : CENTRE SPECIALITES PHARMACEUTIQUES 76, avenue du Midi 63802 Cournon d’Auvergne France.
NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE : Artinibsa 1/100 000 : 384 804-4 ou 34009 384 804 4 3 ; Artinibsa 1/200 000 : 384 805-0 ou 34009 384 805 0 4 ; 1,8 ml en cartouche (verre) avec bouchon (bromobutyle ; boîtes de 50).
DATE DE PREMIERE AUTORISATION / DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION : Mai 2008.
DATE DE MISE À JOUR DE TEXTE : Août 2013. CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE : Liste I RESERVE A L’USAGE PROFESSIONNEL DENTAIRE. Agréés à l’usage des collectivités. Visa n° 16/04/64753847/PM/002 – Avril 2016
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