NOUS SOMMES LES PREMIERS A EN PARLER, ON VOUS DIT TOUT ! NOUVELLE TECHNOLOGIE PLASMA : STÉRILISATION EN 4 MIN
HISTOIRE
Si les étapes du protocole de désinfection et de stérilisation sont bien codifiées le choix matériel reste limité aux seuls autoclaves. Des autoclaves qui n’ont par ailleurs pas connu de grandes évolutions au cours du temps. Les bases de son fonctionnement remontent à Denis PAPIN et son « digesteur » en 1680, modifié par Nicolas APPER en 1795 pour la stérilisation et la conservation des aliments. Les travaux de Louis PASTEUR en 1861 posèrent les bases de la microbiologie moderne. 20 ans plus tard, CHAMBERLANT introduisait les premiers autoclaves à vapeur d’eau à vides fractionnés. Force est de constater qu’en un siècle et demi outre l’intégration de l’électronique et un gain de fiabilité, l’autoclave a peu évolué. Pourtant les recherches en matière de stérilisation n’ont cessé d’innover avec le développement de procédés de stérilisation chimiques ou physiques par irradiation.
LA MAGIE DU PLASMA
La stérilisation par le plasma fait partie de ces innovations. Présente sur le marché depuis 1990, elle s’adressait principalement aux grosses structures désireuses de stériliser des matériels thermosensibles et d’éviter la contamination par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC). Après 4 années de R&D la société PLASMAPP nous présente aujourd’hui un produit abouti et intégrable dans nos cabinets.
COMMENT ÇA MARCHE
LE SAVEZ-VOUS :
- INJECTION : Le peroxyde d’hydrogène est envoyé de la cartouche vers le vaporiseur et vers la cuve ou la pochette.
- DIFFUSION : La pression dans la cuve ou la pochette augmente pour que le peroxyde d’hydrogène entre en contact avec les surfaces des instruments et passe à travers les ouvertures de la charge.
- PURIFICATION PLASMA / ASPIRATION : La pression dans la cuve ou la pochette est diminuée pour aspirer l’air, les résidus d’eau et d’agent stérilisant. Une source d’alimentation électrique est appliquée à la source de plasma pour purifier la vapeur de peroxyde d’hydrogène résiduelle.